Sophie Comtet Kouyaté pratique tout autant la photographie que la réalisation de films documentaires et la création de costumes pour la théâtre contemporain. Dans ses expositions, elle conjugue librement images filmées ou photographiées, art textile et mots qu’elle fait dialoguer dans une proposition globale en correspondance avec les lieux ou le thème abordé.
Réalisatrice de plusieurs films documentaires en France, en Afrique et au Japon, elle est aussi à l’origine des montages de films d’artistes (Philippe Durand, Estelle Fredet, Valérie Jouve), et des films documentaires de Samia Chala et Thierry Leclère. Elle est réalisatrice de tous les clips du musicien Pédro Kouyaté (électro-blues) et du fameux « Mali Sadio » de Toumani Diabaté.
Elle conjugue cinéma et photographie dans ses films « Foly » tourné à Bamako, « Foroba » tourné dans le village de Monéa au Mali, « Shukugawa River », qu’elle réalise en 2016 au Japon et « Crimée enchantée » (2018) tourné à Paris pour l’architecte Sarah Bitter de METEK.
De plus en plus concernée par la photographie « des corps dans la ville et l’architecture », elle réalise, depuis 2018 et jusqu’en 2024, le projet filmique et photographique « Canal Saint-Denis, la bascule d’un paysage », série de 4 films documentaires et de 400 photographies sur la mutation des territoires, avec les habitants des quartiers riverains du canal Saint-Denis.
En parallèle, par la pratique du portrait jouant entre fiction contemporaine et hyper-classicisme, elle invite les habitants de Saint-Denis à s’approprier des codes royaux de leur ville tout en paradant leurs propres objets ou vêtements fétiches et « génériques » dont elle dispose et qu’elle aménage en toute liberté. Une occasion pour elle de renouer avec la pratique du costume et de l’art textile à laquelle elle reviendra ensuite à chacune de ses nouvelles réalisations.
C’est dans ce contexte et pour célébrer avec eux les JO qu’elle a réalisé, avec 40 habitants de Saint-Denis et 8 athlètes olympiques et paralympiques, une exposition monumentale à la basilique Saint-Denis intitulée « La Trêve », un projet Olympiades Culturelles Paris 2024.
En 2025, Sophie Comtet Kouyaté présentera le film « Ma ville en jeu » réalisé en 2024 avec deux jeunes dionysiens et un jeune migrant isolé, tous impliqués dans l’exposition « La Trêve » et vivant l’expérience des Jeux Olympiques dans leur ville de Saint-Denis.
Un projet de réalisation de « gisants » en 3D est aussi en cours ainsi que la préparation d’un livre et d’une exposition du travail photographique, filmique et d’écriture réalisé depuis 5 années dans le cadre du projet « Canal Saint-Denis, la bascule d’un paysage ».
Sophie Comtet Kouyaté pratique tout autant la photographie que la réalisation de films documentaires et la création de costumes pour la théâtre contemporain. Dans ses expositions, elle conjugue librement images filmées ou photographiées, art textile et mots qu’elle fait dialoguer dans une proposition globale en correspondance avec les lieux ou le thème abordé.
Réalisatrice de plusieurs films documentaires en France, en Afrique et au Japon, elle est aussi à l’origine des montages de films d’artistes (Philippe Durand, Estelle Fredet, Valérie Jouve), et des films documentaires de Samia Chala et Thierry Leclère. Elle est réalisatrice de tous les clips du musicien Pédro Kouyaté (électro-blues) et du fameux « Mali Sadio » de Toumani Diabaté.
Elle conjugue cinéma et photographie dans ses films « Foly » tourné à Bamako, « Foroba » tourné dans le village de Monéa au Mali, « Shukugawa River », qu’elle réalise en 2016 au Japon et « Crimée enchantée » (2018) tourné à Paris pour l’architecte Sarah Bitter de METEK.
De plus en plus concernée par la photographie « des corps dans la ville et l’architecture », elle réalise, depuis 2018 et jusqu’en 2024, le projet filmique et photographique « Canal Saint-Denis, la bascule d’un paysage », série de 4 films documentaires et de 400 photographies sur la mutation des territoires, avec les habitants des quartiers riverains du canal Saint-Denis.
En parallèle, par la pratique du portrait jouant entre fiction contemporaine et hyper-classicisme, elle invite les habitants de Saint-Denis à s’approprier des codes royaux de leur ville tout en paradant leurs propres objets ou vêtements fétiches et « génériques » dont elle dispose et qu’elle aménage en toute liberté. Une occasion pour elle de renouer avec la pratique du costume et de l’art textile à laquelle elle reviendra ensuite à chacune de ses nouvelles réalisations.
C’est dans ce contexte et pour célébrer avec eux les JO qu’elle a réalisé, avec 40 habitants de Saint-Denis et 8 athlètes olympiques et paralympiques, une exposition monumentale à la basilique Saint-Denis intitulée « La Trêve », un projet Olympiades Culturelles Paris 2024.
En 2025, Sophie Comtet Kouyaté présentera le film « Ma ville en jeu » réalisé en 2024 avec deux jeunes dionysiens et un jeune migrant isolé, tous impliqués dans l’exposition « La Trêve » et vivant l’expérience des Jeux Olympiques dans leur ville de Saint-Denis.
Un projet de réalisation de « gisants » en 3D est aussi en cours ainsi que la préparation d’un livre et d’une exposition du travail photographique, filmique et d’écriture réalisé depuis 5 années dans le cadre du projet « Canal Saint-Denis, la bascule d’un paysage ».
Sophie Comtet Kouyaté pratique tout autant la photographie que la réalisation de films documentaires et la création de costumes pour la théâtre contemporain. Dans ses expositions, elle conjugue librement images filmées ou photographiées, art textile et mots qu’elle fait dialoguer dans une proposition globale en correspondance avec les lieux ou le thème abordé.
Réalisatrice de plusieurs films documentaires en France, en Afrique et au Japon, elle est aussi à l’origine des montages de films d’artistes (Philippe Durand, Estelle Fredet, Valérie Jouve), et des films documentaires de Samia Chala et Thierry Leclère. Elle est réalisatrice de tous les clips du musicien Pédro Kouyaté (électro-blues) et du fameux « Mali Sadio » de Toumani Diabaté.
Elle conjugue cinéma et photographie dans ses films « Foly » tourné à Bamako, « Foroba » tourné dans le village de Monéa au Mali, « Shukugawa River », qu’elle réalise en 2016 au Japon et « Crimée enchantée » (2018) tourné à Paris pour l’architecte Sarah Bitter de METEK.
De plus en plus concernée par la photographie « des corps dans la ville et l’architecture », elle réalise, depuis 2018 et jusqu’en 2024, le projet filmique et photographique « Canal Saint-Denis, la bascule d’un paysage », série de 4 films documentaires et de 400 photographies sur la mutation des territoires, avec les habitants des quartiers riverains du canal Saint-Denis.
En parallèle, par la pratique du portrait jouant entre fiction contemporaine et hyper-classicisme, elle invite les habitants de Saint-Denis à s’approprier des codes royaux de leur ville tout en paradant leurs propres objets ou vêtements fétiches et « génériques » dont elle dispose et qu’elle aménage en toute liberté. Une occasion pour elle de renouer avec la pratique du costume et de l’art textile à laquelle elle reviendra ensuite à chacune de ses nouvelles réalisations.
C’est dans ce contexte et pour célébrer avec eux les JO qu’elle a réalisé, avec 40 habitants de Saint-Denis et 8 athlètes olympiques et paralympiques, une exposition monumentale à la basilique Saint-Denis intitulée « La Trêve », un projet Olympiades Culturelles Paris 2024.
En 2025, Sophie Comtet Kouyaté présentera le film « Ma ville en jeu » réalisé en 2024 avec deux jeunes dionysiens et un jeune migrant isolé, tous impliqués dans l’exposition « La Trêve » et vivant l’expérience des Jeux Olympiques dans leur ville de Saint-Denis.
Un projet de réalisation de « gisants » en 3D est aussi en cours ainsi que la préparation d’un livre et d’une exposition du travail photographique, filmique et d’écriture réalisé depuis 5 années dans le cadre du projet « Canal Saint-Denis, la bascule d’un paysage ».
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