Des centaines de visiteurs venus découvrir les gisants, vitraux, l’architecture de pierre de la crypte et entendre l’histoire du Saint céphalophore au coeur de Saint-Denis, la ville en palpitation, en plein coeur des JO, sont tombés sur elle, dès leur entrée dans l’édifice.
Ils se sont détournés un temps de leur visite pour l’observer. Ils se sont assemblés autour d’elle, l’ont photographiée comme on photographie une star, un monument, une oeuvre… ils se sont photographiés devant elle et, ils ont participé à sa métamorphose.
Enigme dans ce moment où ils décidaient, dans un temps de silence, d’introspection, d’écrire, de dessiner, puis de déposer délicatement, parmi tous les autres, le voeu, le nom d’une personne aimée, d’un pays chéri, d’un autre quitté ou tout juste découvert, pays en guerre, victime, en danger, qu’il faut à tout prix sauver, un mot, un nom, celui d’un Dieu, d’une reine, une idée politique à revendiquer… un dessin, signe, croquis, gribouillage… une larme, un visage… motifs abstraits, symboles, fleurs, étoiles, coeurs, beaucoup de coeurs, qui parfois remplissent de noir presque toute la surface… une lettre seulement… énigmatique… secrète.
Les tuiles de carton, minuscules, devenues espaces d’expression où se résument en un mot des rêves, souvenirs, lieu ou objet d’espoir, d’amour, de fascination.
Au fil des jours et des évènements, livrés, déposés sans demande de retour, sans la moindre attente d’une réponse, ils s’accumulent, se superposent, disparaissent les uns sous les autres, plus anonymes, dénués plus encore de toute attente si ce n’est le désir intérieur, porté en soit, offert, livré au regard des passants
Des centaines de visiteurs venus découvrir les gisants, vitraux, l’architecture de pierre de la crypte et entendre l’histoire du Saint céphalophore au coeur de Saint-Denis, la ville en palpitation, en plein coeur des JO, sont tombés sur elle, dès leur entrée dans l’édifice.
Ils se sont détournés un temps de leur visite pour l’observer. Ils se sont assemblés autour d’elle, l’ont photographiée comme on photographie une star, un monument, une oeuvre… ils se photographiés devant et, ils ont participé à sa métamorphose.
Enigme dans ce moment où ils décidaient, dans un temps de silence, d’introspection, d’écrire, de dessiner, puis de déposer délicatement, parmi tous les autres, le voeu, le nom d’une personne aimée, d’un pays chéri, d’un autre quitté ou tout juste découvert, pays en guerre, victime, en danger, qu’il faut à tout prix sauver, un mot, un nom, celui d’un Dieu, d’une reine, une idée politique à revendiquer… un dessin, signe, croquis, gribouillage… une larme, un visage… motifs abstraits, symboles, fleurs, étoiles, coeurs, beaucoup de coeurs, qui parfois remplissent de noir presque toute la surface… une lettre seulement… énigmatique… secrète.
Les tuiles de carton, minuscules, devenues espaces d’expression où se résument en un mot des rêves, souvenirs, lieu ou objet d’espoir, d’amour, de fascination.
Au fil des jours et des évènements, livrés, déposés sans demande de retour, sans la moindre attente d’une réponse, ils s’accumulent, se superposent, disparaissent les uns sous les autres, plus anonymes, dénués plus encore de toute attente si ce n’est le désir intérieur, porté en soit, offert, livré au regard des passants
Des centaines de visiteurs venus découvrir les gisants, vitraux, l’architecture de pierre de la crypte et entendre l’histoire du Saint céphalophore au coeur de Saint-Denis, la ville en palpitation, en plein coeur des JO, sont tombés sur elle, dès leur entrée dans l’édifice.
Ils se sont détournés un temps de leur visite pour l’observer. Ils se sont assemblés autour d’elle, l’ont photographiée comme on photographie une star, un monument, une oeuvre… ils se sont photographiés devant elle et, ils ont participé à sa métamorphose.
Enigme dans ce moment où ils décidaient, dans un temps de silence, d’introspection, d’écrire, de dessiner, puis de déposer délicatement, parmi tous les autres, le voeu, le nom d’une personne aimée, d’un pays chéri, d’un autre quitté ou tout juste découvert, pays en guerre, victime, en danger, qu’il faut à tout prix sauver, un mot, un nom, celui d’un Dieu, d’une reine, une idée politique à revendiquer… un dessin, signe, croquis, gribouillage… une larme, un visage… motifs abstraits, symboles, fleurs, étoiles, coeurs, beaucoup de coeurs, qui parfois remplissent de noir presque toute la surface… une lettre seulement… énigmatique… secrète.
Les tuiles de carton, minuscules, devenues espaces d’expression où se résument en un mot des rêves, souvenirs, lieu ou objet d’espoir, d’amour, de fascination.
Au fil des jours et des évènements, livrés, déposés sans demande de retour, sans la moindre attente d’une réponse, ils s’accumulent, se superposent, disparaissent les uns sous les autres, plus anonymes, dénués plus encore de toute attente si ce n’est le désir intérieur, porté en soit, offert, livré au regard des passants
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